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11 décembre 2011 7 11 /12 /décembre /2011 02:49

Mario-Kart-Wii.jpg

 

Bonjour à tous,

 

Aujourd'hui, je vais vous parler d'un jeu fun à l'état pur avec Mario Kart Wii. Edité et développé par Nintendo, le jeu est sorti mondialement en avril 2008 sur Wii. Je vous ai déjà parlé deux fois de la série des Mario Kart, avec l'épisode  SNES et N64, et vous allez me dire que je les aborde dans le désordre. C'est un acte volontaire, pour vous surprendre et me permettre de varier les plaisirs dans l'écriture de ces chroniques. Il s'agit toujours, dans cet opus, de faire la course contre l'IA ou contre d'autres joueurs avec des karts, mais aussi, et c'est la nouveauté de cette version, avec des motos ce qui enrichit le gameplay. Les items sont toujours présents pour pimenter les joutes motorisées des joueurs. Mario Kart Wii mise à nouveau sur le fun, l'accessibilité immédiate, le tout avec brio. Mario Kart Wii résume à lui tout seul la philosophie de la Wii, du fun et un jeu pour tout le monde. Ce jeu est évidemment un succès commercial, et aujourd'hui encore, il se vend très bien, à tel point qu'il est proposé en bundle pour vendre encore plus facilement la dernière console de Nintendo.

 

Intro de Mario Kart Wii

 

Comme je l'ai dit dans le paragraphe précédent, il s'agit comme toujours de faire la course en kart, mais aussi en moto, une très bonne bonne idée de gameplay à mon sens, pour faire varier le style de conduite dans le jeu. L'autre nouveauté très importante, c'est le mode multijoueur en ligne, qui fonctionne très bien. Je dis que c'est une nouveauté pour une console de salon de Nintendo, puisque le mode online existe aussi sur Mario Kart DS, sorti en 2005. Comme toujours, trois cylindrées sont disponibles : 50cc (Facile), 100cc (Moyen) et 150cc (Difficile). Un mode Miroir existe également, lorsque l'on à fini les 32 courses du jeu, réparties en 8 coupes, en 150cc. Les 8 coupes sont réparties de la façon suivante : 4 coupes avec 4 courses chacune, toutes avec des tracés inédits, et 4 autres coupes "rétro" de 4 courses chacune, ou l'on trouve une sélection des meilleurs circuits des éditions précédentes de Mario Kart. De là à se dire que Mario Kart est une série auto-référencielle, il n'y a qu'un pas, que l'on peut franchir allègrement. Mario et ses amis nous promettent des heures et des heures de jeu, sans prendre de risques.

 

Gameplay de Mario Kart Wii - Daisy à moto - Usine Toad

 

Vous l'avez compris si vous me lisez depuis longtemps, j'adore la série des Mario Kart. J'ai donc acheté Mario Kart Wii dès le jour de sa sortie, avec une certaine frénésie. Même si le souvenir date d'avril 2008, il est encore très vivace. Et ce que j'ai essayé en premier, c'est évidemment le mode multijoueur en ligne. Et là, j'ai eu droit à un retour sur terre assez violent : face à des joueurs humains, je suis nul. Incroyablement nul. Mais étonnamment, ça ne m'a jamais dérangé. Vous me voyez venir si vous avez l'habitude de jouer à Mario Kart, toutes versions confondues : Mario Kart est l'un des seuls jeux sur terre où il vaut mieux être dernier en fin de course que premier. Et c'est encore plus vrai dans cet opus, car le premier joueur de la course, lors du dernier tour, se prend une suite d'items complètement folle. Mario Kart est une série de jeux de course, mais on ne le répétera jamais assez : la fourberie est une partie intégrante de ce jeu indémodable. Honnêtement, personne ne peut rester indifférent face à ce jeu au concept simple mais terriblement accrocheur.

 

A demain pour un nouveau jeu.

 

Vidéoludiquement vôtre,

 

Mario-Kart-Wii-bottom.jpg Utori

 

PS : N'oubliez pas que dans les commentaires de cet article, vous pouvez me suggérer des jeux que vous voudriez voir apparaître dans cette rubrique. 

10 décembre 2011 6 10 /12 /décembre /2011 00:48

From-Dust-up.jpg

 

Bonjour à tous,

 

Aujourd'hui, je vais vous emmener observer notre planète avec From Dust. Le jeu a été créé par Eric Chahi, auteur d'Another World, qui a eu le droit à sa chronique il y a quelque temps. Edité par Ubisoft et développé par Ubiisoft Montpellier, le jeu est sorti sur Xbox 360 le 27 juillet 2011, sur PC le 17 août 2011 et enfin le 14 septembre 2011 sur PS3. Il faut noter que ce jeu n'est disponible qu'en téléchargement (sur le XBLA pour la 360, sur le PSN pour la PS3 et sur Steam pour le PC). Le joueur incarne le Souffle, une sorte de dieu qui doit veiller sur une tribu d'indigènes, mais j'y reviendrais plus en détail dans le paragraphe suivant. Eric Chahi, après la publication d'Heart of Darkness en 1998, a décidé de prendre de la distance avec les jeux vidéo pour se consacrer à la photographie. Il voyage à travers le monde, notamment pour voir des éruptions volcaniques, car il est fasciné par ce phénomène naturel. C'est en 2005 que l'idée de From Dust germe dans son esprit. Présenté à Ubisoft un an plus tard, le jeu est présenté pour la première fois lors de l'E3 2010.

 

Trailer de From Dust - E3 2011

 

From Dust est présenté par Eric Chahi comme le fils spirituel de Populous créé en 1989 par Sir Peter Molyneux, qui fonda le genre du god game. Dans ces deux jeux le joueur incarne donc un dieu qui veille sur la destinée de son peuple. Dans le cas de From Dust, le joueur devra faire en sorte que la végétation se propage, que les tribus s'installent autour de différents totems à sa gloire. Mais la Terre est vivante, par conséquent, il faudra faire face à différentes catastrophes naturelles telles que des tsunamis, des séismes, des feux de forêt ou encore des éruptions volcaniques chères à Eric Chahi. Pour parvenir à protéger la tribu d'indigènes du jeu, le joueur déplace le curseur qui représente le Souffle (le dieu du jeu) et prélève de la matière (de l'eau, du sable, de la terre ou encore de la lave) à un endroit pour la déposer ailleurs. Ainsi il est possible de détourner le cours d'une rivière, une coulée de lave ou encore d'assécher un endroit donné pour permettre à nos petits hommes de s'installer et à la végétation de s'étendre. 

 

From Dust : 10 minutes en mode Défi 

 

Comme vous avez dû le voir si vous avez lu ma chronique sur Another World, j'ai un énorme respect pour Eric Chahi. Pour son oeuvre d'abord, mais aussi pour l'homme qu'il est, bien que je n'ai jamais eu l'honneur de le rencontrer. Je ne peux que me référer aux rares interviews que j'ai pu lire ou regarder ces dernières années. La modestie qui transparaît lorsque cet homme parle m'a toujours fait penser que parler de ces jeux le dérangeait. Mais parlons de son dernier jeu. Les god games ne m'ont jamais vraiment intéressé parce que leur rythme est lent. Pour moi, il ne se passe rien, donc à priori, je n'aurais jamais dû acheter ce jeu. Et pourtant, dès le jour de sa sortie sur le XBLA je me suis jeté dessus. Mais pas seulement à cause de la réputation d'Eric Chahi, mais aussi à cause de la beauté des images que j'avais pu voir au préalable en vidéo. Cette beauté de la nature m'a littéralement décroché la mâchoire. Je vous invite à regarder attentivement les deux vidéos qui accompagnent cette chronique. Pour moi, From Dust montre que la nature est belle. Et dans le jeu vidéo ce n'est pas si souvent le cas. 

 

A demain pour un nouveau jeu.

 

Vidéoludiquement vôtre,

 

From-Dust-bottom.jpg Utori

 

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9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 00:00

rayman origins up

 

Bonjour à tous,

 

Aujourd'hui, je vous emmène dans un univers loufoque aux couleurs chatoyantes et où le sourire fait loi. Je vais vous parler de la dernière création de Michel Ancel, Rayman Origins. Edité par Ubisoft et développé par Ubisoft Montpellier, le jeu est sorti sur Xbox 360, Wii et PS3 le 15 novembre 2011 aux USA et le 24 novembre 2011 en Europe. Des versions pour la 3DS et la PS Vita verront le jour en 2012. Le scénario est assez simple : Rayman et ses amis vivent à la Croisée des Rêves, un monde calme et serein. Mais malheureusement, les esprits de la Lande des Esprits Frappés s'échappent de leur Lande chérie pour semer le chaos dans la Croisée des Rêves. Rayman et son ami Globox ainsi que deux Ptizêtres ne vont pas laisser faire une telle pollution se produire, si je puis m'exprimer ainsi. Rayman revient en force après quelques années où les Lapins Crétins avaient occupé le devant de la scène pour Ubisoft. Et vous allez le voir, Rayman revient de fort belle manière. Et je trouve, personnellement, que c'est un euphémisme.

 

Intro de Rayman Origins

 

Rayman Origins est un jeu de plate-forme en 2D, ce qui pourrait paraître un peu paradoxal à l'heure où les consoles de salon ne jurent que par une belle 3D bourrée de polygones (non, chers lecteurs je n'alimenterais pas le débat qui dit que la Wii est moins capable de faire de la 3D. Ce n'est pas le sujet). Rayman fait le pari de la très belle 2D, avec des décors magnifiques et une animation des personnages absolument bluffante. Le jeu est fluide, il garde un rythme effréné tout au long de la soixantaine de niveaux qu'il propose. Rayman et ses amis traversent de véritables tableaux de maître peints à la main (l'animation des personnages à été faite à la main) ce qui donne à ce jeu un cachet particulier, ne ressemblant à aucun autre. Michel Ancel crée un univers drôle, que l'on a envie d'explorer de fond en comble pour ramasser les précieux Lum's, libérer les fées de ce monde et retrouver les Electoons et les Dents de la Mort afin de mettre un terme à la menace des Esprits Frappés. 

 

Scènes de gameplay de Rayman Origins présentées à la Gamescom 2011

 

Ce jeu m'a intrigué dès sa première apparition, à l'E3 2010 si je ne dis pas de bêtises. Au moment où l'industrie fait quasiment l'apologie de la guerre avec les FPS comme Call Of Duty et autres Battlefield pour ne citer que les plus célèbres d'entre eux, Rayman Origins fait figure de bulle d'air rafraîchissante. Je n'étais pas sur ce salon, mais j'ai vraiment eu la sensation avec cette annonce d'une envie de voir autre chose. Une envie qui s'est confirmée une fois le jeu inséré dans la console. C'est beau à tomber par terre, il ne se passe pas une seconde sans que le joueur que je suis ait le sourire aux lèvres. Les animations sont absolument sublimes, bourrées de détails, Michel Ancel signe là une de ses meilleures oeuvres, un peu au dessus de Beyond Good and Evil. Ce nouveau Rayman a été pensé pour le fun à l'état pur, sans jamais se prendre la tête. Le multijoueur en local, où l'on peut jouer jusqu'à 4 joueurs, promet de terribles parties de rigolade. Rayman Origins est mon Jeu de l'Année, sans aucun doute. J'espère pour lui une bonne destinée commerciale, même s'il risque de se noyer parmi tous les blockbusters de fin d''année. En un mot, achetez le !

 

A demain pour un nouveau jeu.

 

Vidéoludiquement vôtre,

 

Rayman origins bottom Utori

 

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8 décembre 2011 4 08 /12 /décembre /2011 00:00

http://www.scenicreflections.com/files/GTA:_Vice_City_Wallpaper_yc0l2.jpg

 

Bonjour à tous,

 

Aujourd'hui on prend la direction de Vice City et on plonge à corps perdu à l'intérieur de la Mafia avec GTA : Vice City, sorti en 2002 aux USA et en Europe puis en 2004 au Japon, le jeu développé par Rockstar et édité par Take Two a fait parler de lui sur PS2, Xbox et PC. Le joueur incarne Tommy Vercetti, qui sort de prison après une peine longue de quinze années. Et en quinze ans bien des choses ont changé dans le milieu du crime. Tommy est envoyé par son boss à Vice City pour effectuer un échange classique de drogue contre des valises d'argent mais rien ne se passe comme prévu, Tommy se fait canarder, perd l'argent et la drogue, ainsi commence ce jeu à monde ouvert  où il va falloir se débrouiller. Ce jeu est le quatrième opus de la saga des GTA et le second opus de la trilogie formée par GTA III, GTA : Vice City et GTA : San Andreas. Le jeu fût un succès colossal puisqu'il s'est vendu à 14 millions d'exemplaires dans le monde. Malgré ses détracteurs c'est un jeu qui vaut le détour, sans aucun doute.

 

 

Intro de GTA : Vice City 

 

Si on regarde le jeu plus en détail, on se retrouve face à un jeu de tir à la troisième personne où le joueur évolue dans une ville entière et ouverte, bien que l'on devra déverrouiller les différentes îles du jeu au fur et à mesure de sa progression. On avance de mission en mission sans vraiment se poser de questions finalement, même si l'humour grinçant des cinématiques fait mouche à tous les coups. Au delà de l'histoire, très bien écrite, ce jeu est très beau graphiquement, malgré les nuances flashy inhérentes aux années 1980 qui servent de cadre au jeu, puisque l'action se passe en 1986 (j'avais relevé ce détail dès le départ puisque c'est mon année de naissance haha). Mais que serait un GTA sans ses radios, que l'on écoute avec plaisir en voiture, en moto ou encore en bateau. Non seulement les musiques collent très bien à l'ambiance, mais les émissions factices entre les chansons sont, elles aussi bourrées d'humour très british malgré le fait que Vice City soit une ville fictive américaine. La raison pour laquelle on a droit à cet humour british tient au fait que Rockstar North soit un studio d'origine écossaise.

 

 

GTA : Vice City OST Flash FM - Billie Jean - Michael Jackson

 

GTA : Vice City est le premier GTA qui j'ai pu approcher. Je l'ai fait sur PC il y a déjà pas mal d'années, avec un plaisir incroyable. Se balader dans cette ville ouverte, où l'on peut faire toutes sortes de missions en restant sur les rails de l'histoire principale, où prendre un taxi pour se faire de l'argent en transportant des clients ou tout simplement prendre une voiture (plus précisément la voler, mais c'est la base du jeu finalement) pour simplement rouler en écoutant de la musique  pour explorer la ville et en connaître les moindres recoins, chaque joueur y trouve son compte finalement. C'est le premier jeu où j'ai fait les choses à mon rythme, sans jamais avoir l'impression que l'on m'obligeait à faire quelque chose. Cette liberté, que certains chercheraient à restreindre en parlant de murs invisibles ou d'autres choses, elle m'a transporté, parce qu'elle me semblait totale. GTA : Vice City a été pour moi le premier frisson vidéoludique de liberté. Et ça, je pense que je ne le revivrai jamais aussi fortement. Sauf si les jeux du futur me surprennent, et j'espère qu'il le feront.

 

A demain pour un nouveau jeu.

 

Vidéoludiquement vôtre,

 

GTA-Vice-City-bottom.jpg Utori

 

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7 décembre 2011 3 07 /12 /décembre /2011 00:00

aladdin-up.jpg

 

Bonjour à tous,

 

Aujourd'hui, je vous emmène en Orient, au pays d'Agrabah, pour vous parler d'Aladdin, dans sa version Megadrive. Sorti en 1993, le soft est édité et développé par Virgin Interactive, sous la houlette de David Perry, ce jeu lui permettant de se construire une solide renommée. Aladdin est un jeu de plate-forme classique où il s'agira de traverser différents niveaux inspirés du film éponyme, tout en s'affranchissant des ennemis et des pièges tendus au joueur. Considéré par beaucoup comme un jeu indispensable à tout possesseur de la Megadrive, le jeu a eu un grand succès, tant critique que commercial. Il en est de même de plusieurs jeux Disney de la même époque tel que l'adaptation du Roi Lion, toujours sur Megadrive, pour ne citer que lui. Grâce à Aladdin, David Perry a pu sortir l'année suivante Earthworm Jim, un autre jeu de plate-forme de son cru, très célèbre encore aujourd'hui, puisqu'il a eu droit à différentes rééditions  ces dernières années. Mais j'y reviendrais lors d'une prochaine chronique.

 

Niveau 1 d'Aladdin : Agrabah Market

 

Comme je l'ai précisé dans le paragraphe précédent, Aladdin est un jeu de plate-forme, où l'on doit traverser une petite dizaine de niveaux assez difficiles pour peu que l'on joue en difficulté normale (c'est un minimum à mon sens) où les gardes du Sultan pullulent ainsi que les lanceurs de couteaux, sans oublier Iago, le perroquet râleur de Jafar. On pourrait presque le comparer à un beat'em all (oui j'en parle encore, que voulez vous !) mais ce serait réducteur voire même un raisonnement simpliste. Aladdin saute et bondit de plate-forme en plate-forme de façon très fluide, le tout servi par une qualité des graphismes très impressionnante, qui donne presque l'impression de ce mouvoir dans un dessin animé. Les musiques sont, elles aussi, très bien rendues à une époque où le processeur sonore de la Megadrive était accusé de faiblesse face au processeur sonore de la Super Nintendo. A vrai dire,  il est très difficile de trouver un réel défaut à ce jeu enchanteur à tous les niveaux.

 

Niveau 7 d'Aladdin : Rug Ride

 

J'ai eu ce jeu à Noël, l'année de l'arrivée de la Megadrive à la maison. Et dire que j'ai retourné le jeu ne serait pas assez fort pour vous montrer à quel point la cartouche a chauffé dans la console. Je pense que ce jeu serait l'un des rares jeux que je pourrais faire les yeux fermés. Ou en speedrun tiens, pourquoi pas. Et j'avoue également avoir vu le film d'animation de Disney après avoir joué au jeu. Et c'est à ce moment là que j'ai saisi l'étendue de la performance de David Perry et ses équipes, le rendu graphique étant quasiment identique au dessin animé, toutes proportions gardées par rapport aux capacités de la Megadrive. Je n'ai que très peu joué à la version Super Nintendo d'Aladdin probablement parce que mon affect pour la version Megadrive s'est fait un peu trop fort. Mais qui sait, peut-être qu'un de ces jours, j'essaierai cette version éditée par Capcom au gameplay légèrement différent. Mon seul regret, quand j'étais gosse, c'est de n'avoir pas assez vu Jasmine dans le jeu. Et je ne pense pas avoir été le seul gamin à l'avoir pensé héhé.

 

A demain pour un nouveau jeu.

 

Vidéoludiquement vôtre,

 

Aladdin-bottom.jpg Utori

 

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6 décembre 2011 2 06 /12 /décembre /2011 00:00

Infinity_Blade-up.jpg

 

Bonjour à tous,

 

Aujourd'hui je vais revenir sur les smartphones et autres tablettes tactiles avec Infinity Blade. Le soft a été développé par Chair Entertainment et il est sorti sur IPhone et iPad le 9 décembre 2010,. Ce jeu est animé grâce au moteur 3D Unreal Engine 3, qui anime des jeux PC, Xbox 360 et PS3 tels que Bioshock, Mirror's Edge ou encore la série des Gears of War pour ne citer que ceux-là. Oui, vous avez bien lu, Infinity Blade fonctionne sur le même moteur que la plupart des jeux actuels et c'est une très grande performance. Il faut noter que Chair Enternaiment est un studio affilié à Epic Games, le studio qui a créé le moteur Unreal Engine 3 forcément, ça aide. A sa sortie, les critiques de ce jeu furent dithyrambiques, la presse spécialisée soulignant la beauté de jeu, tant graphiquement que dans l'animation du guerrier que le joueur contrôle dans cet action-RPG de très belle facture. Ce jeu a montré à tout le monde que l'on pouvait faire de très belles choses, même sur les smartphones et les tablettes tactiles.

 

Intro de Infinity Blade

 

 Infinity Blade est un action-RPG que j'aurais qualifié de Beat'em all au premier coup d'oeil. Mais il est vrai que l'on ramasse des objets que l'on place dans un inventaire, avec des potions, des armes, des boucliers etc. L'histoire du jeu est assez simple : un guerrier affronte une divinité guerrière dont on ne sait rien. La divinité en question dézingue notre héros et celui-ci meurt, léguant sa quête à sa descendance. Ainsi le joueur devra défaire toutes sortes de monstres, aller vers cette divinité et mourir et ainsi de suite jusqu'à ce qu'un descendant obtienne le niveau suffisant pour le vaincre, chaque descendant recevant en héritage le niveau de combat de son ancêtre, ainsi que son inventaire. Vu comme cela, c'est pas très fouillé. C'est assez vrai, mais l'intensité des combats est très bien rendue avec l'interface tactile et les commandes très bien pensées. Tout est basé sur le timing des coups pour effectuer des combos avec style. Cet aspect de boucle sans fin fonctionne très bien lui aussi, assurant une rejouabilité bienvenue.

 

Infinity Blade OST - Deathless Kings

 

J'avais entendu parler de ce jeu lors de sa sortie, et sincèrement, j'avais des doutes sur la promesse qui avait été formulée par Epic Games quand l'annonce de ce jeu a été faite. Mais je restais très curieux de voir le résultat et surtout de savoir si oui ou non, au delà de la promesse graphique, le reste suivrait. Lorsque j'ai pu l'installer quelque temps plus tard sur mon iPad, j'ai été bluffé, comme tout le monde. A tel point que j'ai fini le jeu d'une traite. Comme je l'ai déjà dit dans d'autres chroniques, ça ne m'arrive pas si souvent que ça. l'iPhone et l'iPad peuvent-ils devenir des consoles portables ? Le débat fait grincer pas mal de dents, et à mon avis, qui reste très personnel, nous n'en sommes pas encore là. Mais Infinity Blade a le mérite de montrer des possibilités pour que ce soit le cas. Bon je vous laisse, j'ai Infinity Blade II à finir, qui est sorti le 1er décembre 2011, pour un test très bientôt sur le blog.

 

A demain pour un nouveau jeu.

 

Vidéoludiquement vôtre,

 

Infinity_blade-bottom.jpg Utori

 

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5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 00:00

Ecco-up.jpg

 

Bonjour à tous,

 

Aujourd'hui, je vais vous parler d'un jeu qui s'est démarqué à son époque avec son sujet, très planant. Je parle de Ecco the Dolphin, sorti en 1992 sur Master System (portage), Megadrive (version originale), Game Gear (portage) et MegaCD (version améliorée). Développé par Novotrade et édite par Sega, ce jeu d'aventure permet au joueur d'incarner Ecco, un jeune dauphin insouciant qui devra sauver les siens et par la même occasion la terre entière d'une menace extraterrestre qui se font appeler les Vortex. Ecco devra parcourir les niveaux de ce jeu d'aventure qui l'emmèneront à travers les océans, l'Atlantide et même la préhistoire pour se retrouver face à la Reine des Vortex. Aujourd'hui, il est possible de retrouver ce jeu sur la Console Virtuelle de la Wii ou sur le XBLA de Microsoft. Une bonne façon de redécouvrir à moindres frais cet OVNI vidéoludique. A l'heure où les jeux vidéos misaient souvent sur les armes à feu et le combat, Novotrade avait le mérite de sortir des sentiers battus.

 

Intro de Ecco the Dolphin

 

Ce jeu d'aventure est extrêmement beau pour la Megadrive (la version la plus connue du jeu), avec des environnements variés et chatoyants, pour certains en tout cas. Ecco traversera la Préhistoire, ce qui est assez déroutant, l'Atlantide étant déjà une idée de level-design un peu plus logique, Ecco faisant face à une petite saillie narrative qui lorgne vers la mythologie. Ecco est un jeu qui calme les nerfs par ses musiques, souvent avec des teintes très zen, mais lorsqu'il s'agit de combattre, la musique est très bien trouvée aussi. Si on peut trouver un défaut à ce jeu, c'est son coté hardcore, avec le manque d'indication sur la carte, doublée d'un immensité parfaitement rendue, tout cela fait qu'on se perd dans le jeu à de nombreuses reprises. Honnêtement, je pense que peu de joueurs ont fini ce jeu normalement, c'est à dire sans utiliser de codes de triche. Entre la quête des glyphes, les grottes labyrinthiques et les ennemis parfois retors, Ecco the Dolphin n'est pas un jeu à la portée de tous les joueurs.

 

Ecco the Dolphin OST - The Lagoon

 

J'ai joué à ce jeu très, très longtemps. C'est l'un des premiers jeux que j'ai tenté de rincer, de le finir donc... sans jamais y parvenir sans tricher. Comme je l'ai dit précédemment, le jeu est tellement peu directif que l'on ne sait ni où on va, ni où se trouve la fin du niveau en cours, et j'en passe et des meilleures. Alors je l'avoue sans honte : j'ai utilisé des cheat-codes pour voir la fin du jeu, et le "terminer". En y réfléchissant, ça allait même plus loin que ça : je testais les différents codes à ma disposition pour explorer les différents environnements du jeu, avec un plaisir constamment renouvelé. Ecco the Dolphin m'a montré, alors que je n'avais qu'une dizaine d'années, qu'un jeu pouvait être beau et qu'on pouvait s'amuser à se perdre dans ces décors uniques. Avec le recul, je pense que c'est le premier "beau" jeu auquel j'ai été confronté. Et je ne pense pas me tromper en disant que les joueurs qui s'y sont essayés en gardent un souvenir ému, et il est très difficile de comparer ce jeu avec d'autres.

 

A demain pour un nouveau jeu.

 

Vidéoludiquement vôtre,

 

ecco-bottom.jpg Utori

 

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4 décembre 2011 7 04 /12 /décembre /2011 00:00

new-super-mario-bros-wii-up.jpg

 

Bonjour à tous,

 

Aujourd'hui, je vais vous parler d'un jeu sur une console souvent mal-aimée des gamers (à tort à mon avis, mais c'est un ressenti personnel) avec notre ami plombier italien. Je vais vous parler de New Super Mario Bros. Wii sorti sur Wii en novembre 2009 aux USA et en Europe puis en décembre 2009 au Japon. Développé et édité par Nintendo, le joueur incarne Mario pour aller sauver pour la énième fois la Princesse Peach qui s'est fait enlever par mini-Bowser. Mais avant de râler en disant que c'est comme d'habitude, il faut parler de deux éléments : le premier, c'est que Peach s'est fait kidnapper en se retrouvant à l'intérieur du gâteau d'anniversaire où les méchants étaient planqués, ce qui met à mal la jolie fête prévue par l'innocente princesse blonde. Le deuxième élément à signaler, c'est que l'on pourra incarner Mario donc, mais aussi Luigi, Toad Jaune ou Toad Bleu pour peu que le joueur décide de jouer avec des amis. J'y reviendrais plus en détail dans le paragraphe suivant. C'est la force de Nintendo dans toute sa splendeur : faire du neuf avec du vieux.

 

Intro de Super Mario Bros. Wii

 

New Super Mario Bros. Wii est un jeu en 2D, où il faut traverser des mondes pour battre les sbires de Bowser et récupérer la princesse Peach. Au risque de me répéter à terme, c'est un gameplay classique, éprouvé depuis 25 ans, et pour un oeil non-averti, clairement sans intérêt. Mais là où Nintendo aurait pu sombrer dans la facilité en nous proposant un simple portage de New Super Mario Bros. sorti en 2006 sur Nintendo DS, le constructeur nippon nous propose l'arrivée du multijoueur et quelques défis, inhérents aux pièces étoiles à récupérer, des défis que je vous laisse le soin de découvrir. Graphiquement, même si l'on est en 2D, les décors sont très colorés, les musiques sympathiques, et chaque joueur y trouve son compte. On pourrait assimiler New Super Mario Bros. Wii à un hommage aux Mario de la NES et à Super Mario World de la SNES, honnêtement c'est pas loin d'être le cas et les joueurs ne s'y sont pas trompés : New Super Mario Bros. Wii s'est vendu à plus de 15 millions d'exemplaires dans le monde, ce qui est colossal.

 

New Super Mario Bros. Wii OST - Overworld

 

 Ce jeu est un des porte-étendards de la Wii au même titre que les Zelda, ou encore les Super Mario Galaxy. Ce jeu a été calibré pour plaire à tout le monde, aux nostalgiques comme aux nouveaux joueurs. Il m'a plu, c'est vrai, même si au départ, je ne voulais pas me laisser happer par la magie de ce Mario, parce que pour moi, malgré les nouveautés que j'ai énoncé précédemment, ça sentait un peu le réchauffé quand même. Et puis je me suis décidé à m'y essayer. et j'ai accroché instantanément, la fibre nostalgique fonctionnant à plein régime. On accroche en quelques secondes et on ne décroche plus de l'écran, c'est aussi simple que ça. Je vais oser une comparaison avec Sonic Generations, sorti cette année dont je vais vous parler très bientôt. La sauce prend aussi avec Sonic, mais c'est plus poussif, on se prend moins au jeu bien que le soft de Sega soit très bon lui aussi. La magie de Nintendo fait que ce Mario en 2D est un must-have de la Wii, je ne sais pas quoi vous dire d'autre. 

 

A demain pour un nouveau jeu.

 

Vidéoludiquement vôtre,

 

new-super-mario-bros-wii-bottom.jpg Utori

 

PS : N'oubliez pas que dans les commentaires de cet article, vous pouvez me suggérer des jeux que vous voudriez voir apparaître dans cette rubrique. 

3 décembre 2011 6 03 /12 /décembre /2011 00:00

Deus-Ex-HR-up.jpg

 

Bonjour à tous,

 

Aujourd'hui je vais mettre une gabardine classe, ressortir mes implants bioniques et me déplacer avec souplesse pour vous parler de Deus Ex Human Revolution. Le soft, développé par Eidos Montréal et édité par Square Enix est sorti sur Xbox 360, PS3 et PC en août 2011 aux USA et en Europe puis en septembre 2011 au Japon. Eidos Montréal avait une énorme pression sur les épaules pour deux raisons : la première, c'est l'ambition affichée par le studio d'accoucher d'une suite crédible au premier Deus Ex sorti en 2000, un monument du jeu vidéo sur PC. La seconde raison est très simple, puisqu'il s'agit du premier jeu du studio. Autant dire qu'il avaient à coeur de ne pas se rater. Dans Deus Ex Human Revolution, le joueur incarne Adam Jensen, un ancien membre du SWAT qui s'est reconverti dans la sécurité après avoir raté une mission qui a abouti à un massacre. Dans ce monde futuriste, Adam Jensen devra faire preuve d'une palette de talents assez phénoménale. Le joueur devra quant à lui faire preuve de sang-froid et d'ingéniosité pour parvenir à avancer dans le jeu.

 

Intro de Deus Ex Human Revolution. 

 

Deus Ex Human Revolution est un jeu de tir subjectif avec des phases d'infiltration et des mécaniques de jeu de rôle. Il serait facile de critiquer en disant que DEHR mange à tous les râteliers, mais même s'il emprunte des mécaniques différentes, il le fait avec une certaine classe. Finalement l'intégration dans le gameplay est relativement fluide, avec une interactivité bien pensée, notamment sur console, ce qui était loin d'être gagné.  Graphiquement, le parti pris de ces tons noir et or sont du plus bel effet. L'immersion n'en est que plus forte, grâce à ce choix unique pour les yeux mais du coup, c'est un peu "on aime ou on déteste". Autre aspect important du soft, les augmentations. Celles-ci permettent à Jensen d'évoluer de gagner des capacités et d'en augmenter aussi certaines. Si l'idée est lumineuse, elle a tout de même ces limites : si vous augmentez la mauvaise capacité, la progression dans le jeu peut s'avérer difficile. Mais c'est aussi le charme de ce jeu : la réflexion et la prise de décision est importante à chaque instant.

 

Deus Ex Human Revolution OST - Main Theme

 

Ce jeu m'a laissé un sentiment mitigé. J'ai apprécié le jeu dans son ensemble, mais le système d'augmentations dont use et abuse Jensen m'a rebuté de prime abord. Néanmoins, après l'avoir pratiqué suffisamment longtemps, j'ai fini par l'apprécier sans limite. Le graphisme m'a sauté aux yeux avec plaisir, et le personnage de Jensen a une classe folle. C'est un héros qui donne envie de se glisser dans son costume avec une envie grandissante. Eidos Montréal m'a agréablement surpris. Et le succès n'était pas garanti comme je l'ai dit en début de chronique. Mais il a eu lieu, à tel point que le studio embaucherait pour la suite grâce à ce succès. Cette suite de Deus Ex est une réussite malgré ce mélange de mécaniques déroutant. J'ai commencé ce jeu avec un certain scepticisme, persuadé que je me perdrais sur la carte de DEHR. Il n'en fût rien. J'ai fini ce jeu d'une traite, avec un grand plaisir. La licence Deus Ex est partie sur des bonnes bases, cette suite lui fait honneur. Vous avez peut-être l'impression que je me répète, mais cela montre à quel point Eidos Montréal a réussi son pari.

 

A demain pour un nouveau jeu.

 

Vidéoludiquement vôtre,

 

Deus-Ex-HR-bottom.jpg Utori

 

PS : N'oubliez pas que dans les commentaires de cet article, vous pouvez me suggérer des jeux que vous voudriez voir apparaître dans cette rubrique. 

2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 00:00

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Bonjour à tous,

 

Aujourd'hui, je vais enfiler une fois de plus mon costume de Chevalier Noir avec les collants qui s'imposent pour vous parler de Batman Arkham City. Le jeu développé par Rocksteady et édité par WB Games est sorti le 18 octobre 2011 aux USA et le 20 octobre 2011 en Europe sur PS3 et Xbox 360 et le 24 novembre 2011 sur PC. Une version sur Wii U verra également le jour en 2012. Une fois de plus, le joueur incarne Batman qui se retrouve enfermé à l'intérieur d'Arkham City, la ville-prison de Gotham City où les malfrats de l'asile d'Arkham et de la prison de Blackgate vivent en liberté. Batman tient à remettre de l'ordre dans tout cela et au-delà de vouloir sortir de cette ville de fous, qu'Arkham City ferme ses portes et qu'Hugo Strange, son concepteur, soit arrêté dans sa folie. Mais c'est sans compter sur le Joker, le Pingouin, et tous les méchants de l'univers de la chauve-souris qui ne vont évidemment pas le laisser faire. Il faudra toute la force et l'ingéniosité de notre héros pour qu'il parvienne à ses fins. Notons également la participation en guest-star de Catwoman, mais j'y reviendrais plus tard.

 

 

Intro de Batman Arkham City (Partie 1)

 

Après le chef-d'oeuvre qu'est Batman Arkham Asylum sorti en 2009, Rocksteady avait placé la barre très haut. En 2011, Batman Arkham City surpasse son aîné en tous points. Le premier et le plus important étant qu'Arkham City est un monde ouvert, à l'opposé de l'asile d'Arkham constitué de couloirs qui pouvaient, parfois, pousser le joueur à se sentir claustrophobe. Ici, Batman vole d'un bout à l'autre de la ville-prison, l'exploration de la ville est vivement conseillée, que ce soit pour la quête du Riddler (l'Homme-Mystère) ou pour accéder à des scènes inédites que je vous laisse découvrir. L'aspect action du titre n'est pas oublié avec un système de combat toujours aussi intuitif, avec le système de combos qui donne toujours cette sensation de puissance au joueur. Néanmoins, Il est important de se rappeler que Batman est un être humain à la base, donc dès qu'il s'agit d'affronter des sbires armés, le combat devient plus subtil et plus difficile. On ne s'ennuie pas un instant dans ce jeu, et il est très difficile de reposer la manette (ou la souris) une fois l'aventure commencée. 

 

 

Intro de Batman Arkham City (Partie 2)

 

Dire que j'ai adoré ce jeu est une évidence. Après la claque que j'ai pris en jouant à Batman Arkham Asylum, j'attendais sa suite avec impatience. A tel point que j'avais acheté le jeu en pré-commande. Dès que j'ai commencé à jouer, j'ai retrouvé mes marques et je passais plus de temps à explorer la ville qu'à avancer dans la quête principale. Comme je l'ai dit précédemment, Catwoman fait son apparition dans ce jeu. Mais WB Games et Rocksteady ont fait une entourloupe au joueur. Catwoman, en tant que personnage jouable, n'est accessible que grâce à un code que l'on trouve que dans les boîtes de jeu neuves. Non seulement il est obligatoire d'avoir une connexion internet pour entrer ce code, mais en plus, les joueurs qui achèteront le jeu d'occasion n'y auront pas accès. Est-ce bien raisonnable de tronquer ainsi l'expérience de jeu ? Même si Catwoman apparaît dans les cinématiques, et qu'il n'est pas indispensable de jouer avec Catwoman pour comprendre l'histoire du jeu, ce procédé a provoqué un tollé parmi les joueurs, et encore aujourd'hui le débat fait rage, avec l'association UFC-Que Choisir qui vient de porter plainte contre plusieurs développeurs de jeux vidéo pour protester contre les jeux en kit, entre autres choses. Quelle est la meilleure solution pour que, financièrement, le consommateur et les concepteurs de jeux s'y retrouvent ? Le débat reste ouvert.  

 

A demain pour un nouveau jeu.

 

Vidéoludiquement vôtre,

 

catwoman.jpg Utori

 

PS : N'oubliez pas que dans les commentaires de cet article, vous pouvez me suggérer des jeux que vous voudriez voir apparaître dans cette rubrique.